Ecrits
La nuit épuisée par la source de mes rêves, élève l’espoir dans l’imprévu d’un visage.
Pour racines, la coque d’un navire élancé dans la torture des songes. La cicatrice obsidienne balafre la pierre émondée du cœur.
Je suis arrimé au tourment obsessionnel du désir verbal et une plume incertaine approche la côte de toutes les significations.