Trouble...
Elle est l’image de mon drame Ce qui est ouvert pour moi est probablement fermé pour elle mon drame chaque jour s’ouvre à l’infini je suis dans un ailleurs qu’elle n’imagine pas ses genoux polis par la mer et un vague rire en couleur Un petit gloussement...
Elisa...
J’aimerais écouter ta route Dévaster le bien séant Loger dans le bruit de ton âme Et puis chercher le suspens Là à l’effleurement de tes doigts Mais la raison m’empêche de me perdre
Sensiblement jazz
La raison...est-ce vraiment la raison Se perdant à la chaleur des riffs Plutôt l'âme disons celle-là s'évadant à mille lieux de ce qu'il faut toujours être Libérée transcendée Je vis avec ça Au bout des doigts Je vis avec ça La tête dans la permanence...
M'aime...
m’aime jour blond vient soleil et musique comme de la rage rajoutée à la faiblesse des lampions je me relève d’un néant de flaque vers un reflet de lumière, basculé,ivre… chaque silence me renverse chaque abandon me dévaste
Des hauts plateaux
Mon esprit vole Dans l’existence cristalline Qui s’appelle hirondelle Qui s’appelle ciel J’aimerais être cela Esprit des hauts plateaux Né du vent rare et cosmique Des boréales aurores JY LE DORZE
Mèche Blonde
J’attends dans l’heure qui m’étonne Le cœur, Mèche Blonde De cette brutalité du monde A cette tendresse qui détonne jean yves le dorze
Au-dessus
Rarement à vent d’herbe Un printemps où la forêt frétille Ton monde à toi qui remue, inexpliqué Un rêve toujours à part dans ton ailleurs jyledorze
Tous ces jours
Seul au vent Automne au puissant soleil Entends octobre Vivre de sa chanson On est dans la pluie On écoute Le tamtam des gouttes La lune dans l’ennui Des flaques patiente Avant de s’égayer Parmi les carrosseries des rues Les passants tourbillonnent Parmi...
J'ai dehors laissé...
J'ai dehors laissé La route Et pris les feux de paille Soleil arrimé A mon dos froid Le lointain se déchire Sous les sabres du vent... jyledorze©
Le coeur...éclats...
Pourquoi la haine Brûlant l'acier des canons Et le sang masquant Le miroir des lames? Et enfances balayées Par l'ouragan des guerres Et mères priant encore Au chevet de l'espoir jy Le dorze©